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 Gigi Cadelo - La Volpe

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Gigliola Cadelo
Gigliola Cadelo
La Volpe
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MessageSujet: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyLun 9 Oct - 23:56

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La Volpe

" Qui s'y frotte s'y pique "
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Identité

Les Bases
+ Nom : Cadelo
+ Prénom : Gigliola "Gigi"
+ Pseudonyme : La Volpe
+ Date de naissance : 14/11/1852 - 25 ans
+ Lieu de naissance : Venise
+ Situation familiale : Orpheline & Célibataire
Signes Particuliers
Des cheveux roux, un accent italien, et un attrait presque malsain pour les couteaux.
Informations Complémentaires
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Biographie

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Gigi n'est pas la personne la plus simple à décrire qui soit. Parfois extrême, parfois nuancée. Parfois excessive, parfois toute en retenue. Aucune case ne lui conviendrait réellement. Elle est ce qu'elle est, point. Ce qu'elle va faire, ce qu'elle pensera. Ce qu'elle dira. Tout ça sera parfaitement situationnel. Plutôt instinctive, son comportement est adapté à sa manière de penser sur le moment. La Volpe dans un bon jour pourra être une camarade de beuverie à l'écoute, et le lendemain une asociale patentée prête à répondre avec véhémence et violence au moindre commentaire.
Bien que jeune, la renarde a pourtant une vraie expérience de la vie. Il est évident quand on lui parle qu'elle sait à quoi s'en tire. Elle a le fatalisme pragmatique des vieux briscards usés par la vie. Elle a cette certitude d'une mort proche qu'elle laisse approcher avec le courage d'une dame qui aura vécu longtemps, alors que non.

Soumise à son instinct, elle se base souvent sur un sens de l'observation très aiguisée et une sorte d'empathie. Car oui, aussi surprenant que ça puisse être, la Renarde comprend avec une précision effrayante les gens à qui elle parle. Leurs peurs, leurs envies, leurs tristesses. Comprendre et connaître ne veut toutefois pas dire qu'elle compatit systématiquement. Elle ne partage pas vraiment les sentiments des victimes. Et quand ça arrive, elle s'efforce elle même de souffler sur la flemme de son sentimentalisme pour l'éteindre. Elle ne le sait que trop bien : quand les choses deviennent personnelles, les actes ne peuvent mener qu'à la catastrophe.
Dire qu'elle est froide comme une porte de prison serait toutefois mentir. Gigi a beau tempérer sa compassion, il lui est déjà arrivé d'y céder. Récemment encore, les cris et la frayeur d'une foule aux prises avec l'Inquisition l'ont amené à trouver, débusquer et tuer des proies uniquement pour éviter que des innocents ne soient massacrés injustement. Une erreur qui lui aura attiré les foudres des serviteurs de la «Vraie Foi».

Aussi farouche que sournoise, Gigi est une chasseresse qui compense des lacunes de force brutes par une adresse et une vivacité au delà de la norme. Elle chasse à l'intelligence. Se sachant petite, rapide, et difficile à atteindre, elle amène ses proies à s'épuiser tout en usant d'un arsenal excessivement sournois utilisé pour affaiblir progressivement ses victimes. Poisons, atteintes des tendons, hémorragies. La Volpe est une adversaire retorse et cruelle. Presque vicieuse. Sans remords ou compassion pour ses cibles.
Douter, c'est se mettre en danger. Compatir aussi.
Les bons chasseurs n'hésitent pas. Ils ne se réfrènent pas. La loi est simple quand il s'agit de monstre : Tuer, ou être tuée. Et si la Renarde est toujours là... c'est qu'elle se retrouve toujours du bon côté de cette dualité.  
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Comme beaucoup de gamins de cette époque, Gigi n'a jamais connu ses parents, ayant passé sa plus tendre enfance dans un orphelinat religieux dans les faubourg de Venise. Misérables est encore un euphémisme pour décrire ses conditions de vie à cette époque, l'orphelinat se trouvant trop éloigné du centre véritable attractif de la célèbre ville, dans une zone où seul les criminels et la vermine se rassemblaient.
Gigliola grandit sans même connaître son vrai nom de famille. Les nonnes de l'orphelinat ne parvenant déjà pas à suffisamment nourrir tous les pensionnaires, il n'est pas surprenant d'expliquer que la petite rousse n'eut droit qu'à une éducation très minimaliste et plus religieuse que scientifique ou littéraire. On lui apprend que sommairement à compter. Et on ne lui apprend à écrire que le latin, principalement parce que de tous les gamins, elle était celle qui était la plus habile de ses doigts. Des mains de pianiste, disait-on. Les nonnes y voyaient des doigts de copistes, tandis que dans la rue, dès ses six ans on loué sa dextérité pour faire les poches pendant que les autres mouflets attiraient l'attention.

Parce que le faubourg qui leur servait de terrain de jeu était une zone de transit commercial et agricole, l'endroit était réputé pour être particulièrement insalubre. Pas juste vieux et usé. Parfaitement inadapté à la vie. Les maladies étaient aussi communes que les vermines et chaque été des vagues de fièvres aphteuses horribles venaient moissonner les âmes du cru.
Grouillant dans cette fange abject, Gigi et la bande de gamins prenaient ça avec une forme de résignation que seuls les enfants peuvent avoir. Un cynisme incroyable et une candeur surprenante. Parce que ça les amusait, ils aimaient se faire appeler « Les Rats », puisque dans ce monde immonde, ils étaient les plus petits, les plus vifs, et ceux qui parvenaient toujours à fouiner où il ne fallait pas malgré les milles et une méthodes employées par les gens du coin pour les en empêcher.

Malgré la maladie, la faim et la crasse, c'était aux yeux de Gigi une période de sa vie plutôt heureuse. Principalement parce que les difficultés et les craintes du quotidien lui permettaient d'apprécier davantage les bons moments.
Gigi aimait les soirées passées à l'Orphelinat. Après avoir partagé en douce le fruit de leurs larcins de la journée qu'ils grignotaient en se racontant des histoires inquiétantes. Chez les Rats, Tonio le Lutin était le plus doué pour les histoires qui faisaient peur. La préférée de la bande racontait les méfaits du Roi des Ombres, et de la Reine des Vers. Un couple de monstres occupé à rôder la nuit dans la région à la recherche de victimes. Et Tonio répétait chaque soir les mêmes mots, avec le même rythme. Et chaque soir, il arrivait toujours à effrayer les Rats.

C'étaient de bons moments. Dommage qu'aucun des enfants n'avaient eut à l'époque, le bon sens de creuser un peu plus cette histoire...

Dans le faubourg, un notable du cœur de la capital avait décidé de s'installer, achetant un domaine non loin de l'orphelinat. L'homme avait un côté philanthrope surprenant. Avec ses propres économies, il fit faire des travaux pour le bien commun, payant de la main d'oeuvre pour nettoyer les rues, refaire les routes et remettre à neuf les bâtiments publics les plus importants. L'orphelinat fut l'un d'eux. Hélas la misère chassée revint quelques mois plus tard, plus présente qu'avant. L'argent investi avait attiré de sales types dans les parages, et les bonnes grâces du mécène et de son épouse ne suffirent plus.

Curieux de nature, Gigi s'était souvent demandée pourquoi des gens comme ça avaient décidé de s'installer ici. Leur richesse permettait sans problème de vivre au cœur de la ville. Un lieu bien plus agréable et fréquentable qu'un bouge pareil. Qu'importe sa curiosité, une autre attraction fit sensation : Tonio le Lutin avait trouvé un autre moyen de faire peur aux Rats avec ces histoires du soir, qu'il basait cette fois sur la présence dans le quartier d'un monstre : le Porte-Peste.
Le hasard veut que dans les jours qui suivent, une épidémie plus violente que d'ordinaire se déclencha. Beaucoup de fiévreux pustuleux. Beaucoup de morts. Le quartier fut bouclé par l'armée et les milices et les enfants furent enfermés dans l'Orphelinat.

Férus de liberté, les jeunes s'étaient rapidement décidés à ne pas rester cloîtrés. Et puisque de jour ils ne pouvaient pas se faufiler si aisément sans être vus, c'est à la tombée de la nuit qu'ils se décidaient à prendre la poudre d'escampette pour s'aventurer dehors. Gigi découvrait ainsi sa vie sous la robe de la nuit. Et à bien y réfléchir... elle appréciait déjà grandement ça. Les lieux étaient pourtant effrayant. Dans la nuit, le son des charettes des porteurs de cadavres se mêlaient aux tintements des clochettes des pestiférés errants.
Ils assistent, durant leur escapade à une scène terrifiante. Une homme seul attaqua avec une férocité effrayante un petit groupe de personnes que les gamins avaient identifiés comme étant de malades. Ils prirent la fuite aussi rapidement que possible, poursuivi par le meurtrier.

Tous en réchappèrent... sauf Gigi qui se retrouva à la merci du Porte-Peste...

Elle réapparut quelques heures plus tard, en parfaite santé, et avec en plus de ça une histoire absolument folle à leur raconter. Le Porte-Peste lui aurait sauvé la vie. Mieux, il ne serait pas mauvais, au contraire.
Néanmoins, Gigi n'avait pas plus qu'aujourd'hui de don pour parler. L'éloquence n'était pas son fort. Sa capacité à convaincre non plus. Son histoire contredisant celle du Lutin, elle fut rapidement traitée de menteuse. Vexation extrême pour la gamine, qui décida de retourner en ville à nouveau. Elle voulait donner une preuve.

Bredouille la première nuit, elle sortie à nouveau la suivante. Puis celle d'après. Il lui arrivait de retrouver l'inconnu, pour chercher à lui tirer les vers du nez. En vain, elle se retrouvait simplement employée à chaque fois à d'autre chose. Pensant qu'en échange des services que lui demandait le Porte-Peste, elle finirait par avoir ses réponses, Gigi se montra docile. Chaque soir, elle espionait, volait, se faufilait, rencardait et... rien.
Les jours passant, la situation dans le faubourg allait en s'aggravant. La nourriture commençait à cruellement manquer. Des émeutes éclataient un peu partout. Et mêmes les Rats n'osaient plus sortir. Sauf la petite rousse.

Chez les Rats, on commence à le lui reprocher. Et à la vexation première s'ajoute finalement une certaine tristesse. Les enfants sont cruels entre eux, après tout. Et ça n'en reste pas là.
Dans les jours qui suivent, le Lutin est lui même atteint par la maladie qui ronge la ville, suivie de prés par un autre gamin de l'orphelinat. Et tout naturellement, ils accusent entre eux la petite rousse d'être responsable. Elle est de mèche avec le Porte-Peste. Elle a passé un pacte avec le diable.

Plus triste que vexée cette fois, elle quitte définitivement l'Orphelinat pour rejoindre pour de bon, le Porte-Peste. Contrairement à ce que le Lutin et les autres disaient, l'homme n'est pas un monstre ou quoi que ce soit d'autre. C'est une sorte de mercenaire, versé dans l'extermination de nuisibles rares : les Monstres.
Doctore, c'est le nom qu'il aime se donner. Il voit les Bêtes comme une Fléau qu'il faut traiter des monstres qui ne sont rien de plus que des maladies. S'il est un tueur froid et sans hésitation quand il s'agit d'affronter les bêtes, le Doctore est à côté de ça un homme bon. De son véritable nom Giacomo Pellegrini, il parcourt depuis son enfance le bassin méditerranéen. Et puisque Gigi est seule, sans parent, et dans une situation catastrophique, c'est à elle qui décidera de passer le témoin.


Six mois plus tard seulement, la quarantaine est levée laissant le faubourg dans un état lamentable. Seul le domaine des mécènes en sort dans un état convenable. Gigi et son mentor ne restent pas, filant sur les routes pour un périple et un entraînement d'une difficulté surréaliste pour l'enfant qu'elle est. Parce que la voie dans laquelle elle se lance implique nécessairement d'apprendre à endurer, à souffrir, à toujours se dépasser et à ne rien espérer.

Les coups de bâtons, les potions, les brûlures et les terreurs infligées par des prises de champignons la forge telle qu'elle sera plus tard. Mais elle accepte. Elle comprend. Elle passe outre sa condition d'humaine. D'enfant. Elle sait que c'est un mal nécessaire. Elle sait qu'elle poursuivre l’œuvre du Doctore. Malgré les tourments qu'il lui faisait endurer pour l'endurcir et lui permettre de progresser, Gigi ne douta à aucun instant de la bienveillance de son mentor. C'était un pédagogue sévère et exigent qui apprenait à la rousse que l'échec est systématiquement cuisant, mais en dehors des souffrances nécéssaires, c'était un homme intègre. D'une humanité surprenante. La petite en venait à penser que le pauvre était déchiré entre deux personnalités distinctes.

Les mois de vadrouilles devinrent des années. L'enfant de six ans devint une jeune adolescente de douze années, déjà rôdée à l'art du meurtre au pistage à la survie dans plusieurs milieux hostiles. Le Doctore ne la ménageait pas, la mettant régulièrement à l'épreuve. Plusieurs fois mise en miettes par des combattants clandestins, elle s'était toujours relevée, prête à servir.
Et puis arriva sa première mission de chasse. Un sorcier noir. Un meurtre net et sans bavure.

Le premier d'une longue série. Le Doctore était doué. Redoutable même. Mais il devait admettre que travailler en binôme avec Gigi rendait les tâches excessivement plus facile. Non contente de couvrir ses arrières, elle était aussi et surtout capable de se servir de sa petite taille et de sa vitesse pour partir en éclaireur, et frapper quand et où on ne l'attendait pas. Discrète et sournoise, elle s'attelait à merveille à des tâches secondaires mais pourtant primordiale. Ensemble, ils purent se construire une réputation qui leur amena de nombreux contrats de chasse. Financé directement par le Vatican et par des instances religieuses visant à l'extermination des forces du Mal.

Elle a quinze ans quand elle revient dans le Faubourg qui l'a vu naître et à son actif plus d'une cinquantaine de mises à mort. Une nouvelle épidémie sévit dans le coin. La même que celle qu'elle a vu une dizaine d'année plus tôt. Elle voit toutefois les choses sous un autre œil. Le fléau et la maladie sont de natures parfaitement surnaturel. Elle reconnaît les traces de la nécromancie. La nuit, les corps disparaissent dans les charniers. Les cimetières sont couverts de traces de passages de Goules. Et elle devine aussi la présence d'Alpyres. Quelqu'un en ville répendait volontairement la maladie et en profitait pour utiliser les corps. La présence de vermines vampiriques n'y étant probablement pas pour rien, Gigi comprend que les Faubourgs sont hanté par un nécromancien, et probablement un vampire. Une sangsue s'attardait à constituer sa cour et l'un de ses mages noirs allait visiblement trop loin.

Elle mène l'enquête, et commence par renouer le contact avec les yeux et les oreilles du Faubourg : les Rats. Ceux qui sont encore en vie ont pu recruter. C'est un véritable gang maintenant. Le Lutin est d'ailleurs le Roi des Rats, siégeant comme un véritable monarque dans l'Orphelinat désaffecté. Gigi est bien accueilli par certain. Et très mal par d'autres. Si on est parfois content de la revoir, d'autres l'accusent de les avoir abandonnés, quant au Lutin, il se montre d'une agressivité surprenante à son égard.

L'enquête du duo amène Gigliola et le Doctore a une tension qui dégénérera durement. Le Mentor, plus objectif, aura tôt fait de comprendre que les mystérieux mécènes de la ville sont en réalité la cause de cette monstruosité. Un couple de vampire. Ou un Nosferatu et un nécromancien. Et que leur influence s'était étendue plus loin cette fois, allant jusqu'à infecter le petit gang local. Les rats. Comment une organisation d'adolescents pourrait survivre sans problème dans une situation aussi dramatique ?
Gigi n'en croit pas un mot. Pire, elle se laisse aller à une colère noire qui l'amène à en venir aux mains avec son Mentor. L'affrontement attirant rapidement l'attention, les gardes doivent intervenir. Gigi fuira vers les ruelles, allant retrouver les Rats.

Pour mieux tomber de haut plus tard.

Deux jours plus tard, la quarantaine est à nouveau déclarée mais le Doctore se retrouve coincé à l'extérieur de la zone. Gigi est seule et elle ne sait pas comment elle doit officier à l'intérieur. Ce qu'elle doit croire.
Hélas, elle se rend rapidement compte de son erreur, et de la justesse des propos de Giacomo. La situation est plus compliquée que ça. Le Lutin lui même est sous le contrôle. L'ensemble des Rats allant fouiner la nuit auprès des corps qu'ils volent et livrent en secret. On les laisse piller leurs vêtements et les biens des défunts en échange, le tout protégés par les Alpyres servant le vampire. Les Rats ne sont plus ses amis. Ils sont les alliés des monstres. Ils sont des monstres eux-mêmes...

Elle n'a pas le choix. Souffrir, et aller de l'avant.
Puisqu'elle est dans la place, elle devra elle même se charger de tout ça. Démenteler cette Cour vampirique en commençant par les Rats. Elle porte lui est ouverte. Elle est dans la position avantageuse du renard qui parvient à se glisser dans le poulailler.

La nuit est sanglante, mais au matin, le Lutin et ses lieutenants ne pourront plus servir les maîtres vampires. En tuant ceux qui avaient été ses amis, Gigi s'est tuée elle-même. Les Rats n'existent plus. Gigi les Doigts de Fée non plus.
Elle est devenue la renarde qui se faufile et qui tue.

La Volpe.

Sans l'appui des rats pour les corps, les manœuvres du nécromancien se compliquent. La quarantaine est levée quand l'épidémie s'achève miraculeusement. Le Doctore peut revenir, retrouver son élève. Il la sent changée. Il la sent prête. Elle n'a que quinze ans, mais elle est déjà accomplie. Ne lui restera qu'à prendre de l'expérience et apprendre de la vie.
Ensemble, le duo de mort achève leur œuvre dans la région. Les Mécènes du Faubourg connaissent une fin tragique. L'épouse est retrouvée morte, totalement massacrée. L'époux lui, disparaît dans le brasier de leur domaine, et l'intervention des gardes mettront à jour l'ignore traitement des corps mutilés des malades.

Le duo meurtrier finit par quitter l'italie, le Doctore guidant la Volpe au travers de l'Europe au travers de laquelle l'adolescente renforce ses talents, affûte son savoir, et s'attarde à s'instruire comme elle le peut. S'ils trouvent et traquent toutes les créatures nocives, il faut tout de même noter que les deux sont particulièrement actifs lorsqu'il s'agit de s'en prendre à ce qu'ils nomment l'aristocratie des Ténèbres : les vampires.
Chez les suceurs de sang, la mention du terrible Doctore et de La Volpe suffit à faire frissonner d'horreur les Comtes les plus anciens. Le tableau de chasse des deux Chasseurs étant chargé de nombreuses lignées Vampiriques éradiquées au cours de leurs voyages. Leur séjour dans les pays de l'est de l'Europe reste d'ailleurs leur passage le plus prolifique en terme d'extermination.

Attirés comme bien d'autres, ils prennent finalement direction de Londres quand les premières étrangetés s'y passent. Ils y découvrent avec une certaine stupéfaction une noirceur curieuse et des créatures surnaturelles beaucoup moins timides qu'elles ne le sont ailleurs.
Le nombre de chasseurs sur les lieux offre à la Volpe et au Doctore le loisir de se focaliser sur leurs cibles préférées. Ils se lancent tout naturellement dans une éradication méticuleuse de la vermine vampirique. Mais ils sont négligents. Ou tout du moins, pas assez préparés.

Au hasard d'une chasse qui ne devait les amener qu'à croiser quelques Striges au pire, ils se retrouvent confrontés à un Varghulf. Un adversaire excessivement dangereux, même pour eux. Une créature qui n'avait, par ailleurs, aucune raison d'être là. La bataille est violente. Sanglante. La bête blessée ne capitule jamais. Ses griffes et ses crocs ne laissent pas le moindre aux Chasseurs. Pire, le Doctore manque de lucidité. Un pas un peu trop zêlé et les griffes du monstre l'éventrent, laissant à Gigi la lourde tâche d'achever ce combat seule.
Au prix d'un effort titanesque, il triomphe du monstre, mais bien trop tard pour venir au secours de son Mentor qui est déjà mort quand elle rejoint son corps déchiqueté...

Derrière l'écran
Qu'on en sache un peu plus

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Dernière édition par Gigliola Cadelo le Mar 24 Oct - 0:09, édité 4 fois
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Connor Gallagher
Connor Gallagher
Le Cerbère
Messages : 350
MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyLun 9 Oct - 23:57

Hin hin...

Bienvenue :ghéhé;

:brave:
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Willow Hemingway
Willow Hemingway
Vierge de Fer
Messages : 107
MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyMar 10 Oct - 7:14

Beaucoup trop bien Very Happy

Bienvenuuuuuuuue!!! :gogogogo:
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Elisabeth Shelley
Elisabeth Shelley
Asmodée
Messages : 325
Humeur : Démoniaque.
MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyMar 10 Oct - 11:42

BIENVENUUUUUUUUUUUE Gigi Cadelo - La Volpe 2054871785
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Mina Galloway
Mina Galloway
Duchesse
Messages : 60
MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyMar 10 Oct - 19:30

Bienvenue à toi!

Bon courage pour ta fiche!
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Aedan O’Leary
Aedan O’Leary
Loup-Garou
Messages : 120
MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyMar 10 Oct - 23:16

Bienvenue ! Et bon courage pour ta fifiche ! :coucou: brill


:lgdance:
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Connor Gallagher
Connor Gallagher
Le Cerbère
Messages : 350
MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe EmptyMer 25 Oct - 0:20

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Validée !



YES ! Je valide la petite Gigi de ce pas. On a besoin de chasseurs mwhéhéhé !

:banana: :fiesta: Gigi Cadelo - La Volpe 3518091804 Gigi Cadelo - La Volpe 1165812100 Gigi Cadelo - La Volpe 3772729831


Quelques petits liens utiles au passage :

Les demandes de Rp se trouvent par ici. N'hésite pas à poster la tienne et à te proposer à celles et ceux qui en postent.

Ton journal de bord se trouve ici. Tu peux poster tout ce que tu souhaites dans cette zone. Ta chronologie, le listing des liens de ton personnage, tes PNJ. Ce sous forum est totalement à toi x) (En cas de doute, il se trouve dans la partie Journaux de bord / Les chasseurs / Gigi Cadelo.

• Si tu as besoin que l'on ajoute le  logement de ton personnage n'hésite pas.

• Si tu souhaites participer à l'étoffement du background c'est par ici.

• Venir flooder avec nous c'est par ici. C'est le double effet kiss cool, ça booste un peu les stats du forum et ça permet de se faire des copains.

Voilà voilà. Dans tous les cas, bon jeu par ici ! Wink

Et pis tu sais où aller si tu as des questions à poser hein Razz

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MessageSujet: Re: Gigi Cadelo - La Volpe   Gigi Cadelo - La Volpe Empty

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